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  • Pour 8.4 % des résidents luxembourgeois, une autre langue est considérée comme langue la mieux parlée. La part de locuteurs d'une autre langue dans la population varie entre 2.0% à Vichten et 17.6% à Berdorf. Le haut pourcentage à Berdorf peut s'expliquer par le centre de réfugiés Héliar à Weilerbach, qui abritait environ 200 réfugiés en 2011 (environ 10 % de la population de Berdorf). D'autres parts élevées peuvent être notées dans l'agglomération de la Ville de Luxembourg, dans quelques communes du sud-ouest du pays (Differdange, Esch-sur-Alzette, Schifflange et Rumelange), dans les environs d'Ettelbruck jusqu'à Wiltz, à Beaufort et Troisvierges. Dans les autres communes, les proportions sont plus faibles et ne dépassent pas les 6.8%. <p>Définitions:</p> <p>« Quelle est la langue dans laquelle vous pensez et que vous savez le mieux? » Telle est la question du recensement qui permet d'appréhender la langue principale parlée par les résidents. Une seule réponse était permise parmi sept possibilités : le luxembourgeois, le français, l'allemand, le portugais, l'italien, l'anglais et autre langue.</p>

  • Pour seulement 2.9% de la population luxembourgeoise, l'italien constitue la première langue parlée. Cette proportion varie selon les communes, entre 0% à Bourscheid et Wahl et 5.8% à Bertrange. Après Bertrange, se sont Strassen (5.7%), Luxembourg (5.3%) et Hesperange (4.8%) qui présentent, en parts, le plus de locuteurs italophones. Ainsi, les parts les plus importantes se situent surtout dans les environs directs de la Ville de Luxembourg et dans l'ancien bassin minier. De plus, Larochette et plusieurs communes au niveau de la Nordstad présentent des parts plus élevées que les communes environnantes. A l'inverse, presque l'entièreté de la moitié nord du pays et les communes longeant la Moselle présentent des parts très faibles. Après Bourscheid et Wahl, les minima se situent à Goesdorf (0.2%), Nommern (0.2%) et Clervaux (0.3%). <p>Définitions:</p> <p>« Quelle est la langue dans laquelle vous pensez et que vous savez le mieux? » Telle est la question du recensement qui permet d'appréhender la langue principale parlée par les résidents. Une seule réponse était permise parmi sept possibilités : le luxembourgeois, le français, l'allemand, le portugais, l'italien, l'anglais et autre langue.</p>

  • Les parts les plus élevées de résidents considérant le portugais comme la langue la mieux maitrisée se retrouvent notamment dans le nord-est et le sud-ouest du Luxembourg. Des proportions considérables peuvent également être observées dans les alentours de Mersch au centre-nord, à Luxembourg-Ville, à Wiltz, le long de la Moselle et dans la pointe nord du pays. Pour 43.4% des résidents de la commune de Larochette, dont la population est composée de 44.1% de Portugais, le portugais est leur langue principale. Ensuite viennent les communes de Differdange (33.1%), Esch-sur-Alzette (31.9%) et Bettendorf (30.2%). Au contrario, les valeurs sont beaucoup plus faibles dans les autres communes du pays. C'est à Saeul (2.7%), Ell (2.7%) et à Boulaide (3.6%) que le portugais est, en parts relatives, très peu considéré comme la langue dans laquelle les résidents s'expriment le mieux. <p>Définitions:</p> <p>« Quelle est la langue dans laquelle vous pensez et que vous savez le mieux? » Telle est la question du recensement qui permet d'appréhender la langue principale parlée par les résidents. Une seule réponse était permise parmi sept possibilités : le luxembourgeois, le français, l'allemand, le portugais, l'italien, l'anglais et autre langue.</p>

  • Malgré la forte immigration des dernières décennies, le luxembourgeois est, avec 55.8%, de loin la langue considérée comme la mieux maitrisée par la population luxembourgeoise. Ensuite viennent le portugais (15.7%), le français (12.1%), l'allemand (3.1%), l'italien (2.9%) et l'anglais (2.1%). 8.4% de la population du Luxembourg reconnaît une autre langue comme langue principale. La carte 27a montre le nombre absolu et la part des personnes par commune qui qualifient le luxembourgeois comme étant la langue la mieux maitrisée. Les pourcentages varient entre 35.2% à Luxembourg-Ville à 82.1% à Wahl. On constate que de manière générale, les résidents de la moitié nord du pays sont plus enclins à considérer le luxembourgeois comme première langue que les résidents du sud. De plus, la Ville de Luxembourg et sa proche périphérie confirme leur statut de communes internationales, où le luxembourgeois n'est que rarement la première langue parlée. Après la Ville de Luxembourg [35.2 %] et sa proche périphérie (Strassen (39.3%), Bertrange (47.2%), Sandweiler (48.1%), etc.), certaines communes urbaines au sud-ouest du pays (Esch-sur-Alzette (45.3%), Differdange (45.7%) et Pétange (51.9%)) et surtout Larochette (37.8%) connaissent les parts les plus basses. A l'inverse, c'est surtout dans les communes rurales de la pointe nord du pays, de l'est et de l'ouest du Luxembourg où le luxembourgeois s'impose comme première langue de communication orale. Ainsi, Wahl (82.1%%), Goesdorf (81.5%), Préizerdaul (79.6%) et Bourscheid (79.2%) connaissent les plus grandes parts de population mentionnant le luxembourgeois comme langue principale. <p>Définitions:</p> <p>« Quelle est la langue dans laquelle vous pensez et que vous savez le mieux? » Telle est la question du recensement qui permet d'appréhender la langue principale parlée par les résidents. Une seule réponse était permise parmi sept possibilités : le luxembourgeois, le français, l'allemand, le portugais, l'italien, l'anglais et autre langue.</p>

  • Au Luxembourg, l'anglais, étant la langue internationale prédominante, constitue la langue maternelle ou la langue la mieux maîtrisée pour seulement 2.1% des résidents. La part des locuteurs anglophones varie fortement d'une commune à l'autre, avec comme minimum et maximum les communes de Lac de la Haute-Sûre (0.1%) et de Schuttrange (8.0%). Des hautes parts peuvent être aperçues dans l'agglomération de la Ville de Luxembourg, surtout dans la périphérie orientale (Schuttrange, Sandweiler, Niederanven et Contern), et dans les communes au nord-est de la capitale jusqu'au canton d'Echternach. Les parts sont beaucoup plus basses dans les autres régions du pays, dont notamment les communes de la moitié nord du pays et l'ancien bassin minier au sud-ouest. <p>Définitions:</p> <p>« Quelle est la langue dans laquelle vous pensez et que vous savez le mieux? » Telle est la question du recensement qui permet d'appréhender la langue principale parlée par les résidents. Une seule réponse était permise parmi sept possibilités : le luxembourgeois, le français, l'allemand, le portugais, l'italien, l'anglais et autre langue.</p>

  • Les parts de population considérant l'allemand comme la langue la mieux parlée varient entre 0.8% à Ell et 9.1% à Mertert. Ce sont surtout les communes longeant la Sûre et la Moselle, définissant la frontière germano-luxembourgeoise, que le plus grand nombre d'habitants considèrent l'Allemand comme leur langue principale. La pointe nord du pays et l'agglomération de la Ville de Luxembourg présentent également des pourcentages assez prononcés de germanophones. Après Mertert, Grevenmacher (8.3%), Niederanven (8.3%) et Weiswampach (6.7%) connaissent les parts les plus hautes. Concernant les minima, Differdange (0.9%), Rumelange (1.0%) et Pétange (1.1%) présentent les plus faibles parts de germanophones. <p>Définitions:</p> <p>« Quelle est la langue dans laquelle vous pensez et que vous savez le mieux? » Telle est la question du recensement qui permet d'appréhender la langue principale parlée par les résidents. Une seule réponse était permise parmi sept possibilités : le luxembourgeois, le français, l'allemand, le portugais, l'italien, l'anglais et autre langue.</p>

  • En ce qui concerne la langue française, c'est dans la Ville de Luxembourg (20.7%) et son agglomération, mais également dans les communes de la zone frontalière belge qu'elle constitue la première langue parlée pour des parts de population bien élevées. Ainsi, à Rambrouch (24.2 %), Ell (22.7 %) et Strassen (21.1 %) on observe les plus grandes proportions de francophones. Dans les autres communes du pays, les parts sont beaucoup plus basses et se situent généralement en-dessous de 10.8%. Les valeurs minimales se situent à Bettendorf (2.5%), Parc Hosingen (3.3%) et Tandel (3.4%). Il est intéressant d'observer que les résidents des communes de la zone frontalière française sont moins enclins de parler le Français comme première langue que dans l'agglomération de la capitale ou le long de la frontière belge. Une réponse (partielle) peut être fournie par la Carte 7b qui montre que les Français ont surtout tendance à s'installer dans la capitale luxembourgeoise et sa proche périphérie, et moins dans les communes le long de la frontière française. <p>Définitions:</p> <p>« Quelle est la langue dans laquelle vous pensez et que vous savez le mieux? » Telle est la question du recensement qui permet d'appréhender la langue principale parlée par les résidents. Une seule réponse était permise parmi sept possibilités : le luxembourgeois, le français, l'allemand, le portugais, l'italien, l'anglais et autre langue.</p>